A la vue de mes articles, tout le monde doit me prendre pour un obsédé des symboles nationaux, c'est vrai ! Voici un florilège de ce que j'ai trouvé dans mon voyage dans l'Est. Pour être franc, je n'ai pas rencontré là-bas une recrudescence particulière des manifestations de symboles nationalistes, la norme étant déjà assez élévée je dois l'avouer.
Les étudiants de l'Université d'Harran (Urfa) ont la joie de pouvoir pratiquer l'exercice physique sous l'oeil vigilant d'ATA, ici échauffement pour un match de basket-ball qui finira d'ailleurs en pugilat.
Place principale de Diyarbakir. Sur le bâtiment en face un petit chef d'oeuvre à la mémoire de Moustafa Kémal avec une citation et sur la gauche des symboles Hittites (si je ne me trompe pas). C'est une vue de ma chambre d'hôtel, par curiosité et pour tuer le temps, j'ai entrepris un petite enquête sociologique qui consistait à compter pendant une demi-heure le nombre d'hommes et de femmes qui traversaient la place. Résultat des courses : 75% d'hommes et 25% de femmes. La validité scientifique d'un tel chiffre est nulle mais généralement nous pouvons nous demander, à l'instar du chanteur Patrick Juvet , "Où sont les femmes" dans l'Est de la Turquie ? A la maison, sûrement.
En plein coeur de la zone à majorité kurde cette immense inscription sur la montagne en face du lac de Van vient rappeler à qui l'aurait oublié : "La patrie est indivisible", signé par le commando gendarme.
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